Résidence à Meursault, dernière étape.

Après une semaine de résidence d’artistes et de rencontres,  nous voici arrivés au jour de la présentation du fruit de ce travail.

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Dernier travail de répétition avant l’arrivée des participants à 18 heures pour la présentation publique de 19 heures. 18 heures, c’est  l’arrivée des participants, la préparation de la salle et les derniers  réglages. L’ouverture des portes se fait avec quelques minutes de retard et le public peut enfin entrer dans la chapelle de la Léproserie.

La présentation débute avec la scène du « bal », suivie par un duo chorégraphique énergique stoppé par une « sorcière » envoutante.

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Le texte écrit et dit par Josette (une participante amateur) accompagne et illustre le duo tendre et captivant de Maëlle et Guillaume.

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Après ce moment de poésie, arrive un autre duo celui du clown Vincent et de Gildas le musicien pour un temps burlesque et absurde sur le fait de « dire »….ou pas.

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Sortie un peu tonique (voir la galerie de photos en fin d’article) pour Vincent afin de laisser la place à Lucie et sa roue Cyr.

 

 

 

 

 

 

 

Toujours prêt à intervenir Guillaume fait place à « l’octaèdre ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« L’octaèdre » est un motif travaillé tout au long de la semaine avec les amateurs lors des ateliers. Ce moment est un moment où la scène se partage avec le chant de Claudine et Stephen. Après cet intermède didactique sur la méthode de construction du spectacle et de ce qui vient d’être vu, la présentation reprend sur la « cible sensible », poème d ‘Odile suivi d’une incroyable improvisation dansée sur un duo de trompe de chasse – batterie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Florence calme le rythme avec la lecture de son texte intitulé « le fil » pendant qu’un petit bateau en papier kraft suit ce fil noir, tracé par la Maëlle. Petit moment de magie qui nous mène au final de cette présentation.

« Le Scoparium » est une aventure artistique de partage sensible entre artistes et public.
A chacune de nos rencontres, nous expérimentations les mécanismes de d’une écriture souple, interactive, basée sur la circulation de l’énergie scénique, l’émotion de l’instant et l’empathique entre les personnes.
Cette semaine nous avons pu vérifier la force du partage de cette démarche avec une population bienveillante, curieuse et impliquée dans l’échange.
Merci à tous d’avoir à votre façon nourrit « Le Scoparium ».

Guillaume Bertrand

Le processus de recherche nous mènera ailleurs, à la rencontre d’autres publics, jusqu’à la création prévue pour la saison 2019-2020.
A suivre…

 

Crédits photos : Sophie Charneau (couleurs) & Vincent Schmitt (noir et blanc)